Et ouais les gens, ça faisait fort longtemps que personne n'avait posté ici. Aussi je me permet de poster un chtit texte de mon crû tout mimi tout plein, qui je suis sûr, sera tellement fleur bleue que chaque autre membre postera un texte rempli de boucherie, viols, éviscérations (rayez les mentions inutiles).
Notez que toute ressemblance avec des personnes réelles ou ayant existé serait pure coincidence.Mais trêve de bavardage, vla le texte.
Le banc :
Il était venu la chercher à la gare, au train de 15h30. Une semaine s’était écoulé depuis leur dernière rencontre. Pour lui, cela avait semblé une éternité. Enfin, elle était là. Il avait eut l’impression que le Destin était contre cette rencontre, puisque cela faisait maintenant un mois qu’ils avaient du la déplacer. Mais finalement, sa patience avait payé. Ils prirent donc le chemin de la forêt, puisqu’il l’avait invité pour promener. C’est donc ce qu’ils firent, selon un itinéraire qu’il avait soigneusement calculé. Après une heure de marche, ils arrivèrent au lieu qu’il avait choisi. Il s’agissait d’un banc, légèrement en dehors de la forêt. De là, on voyait un arbre qui poussait, symbole d’espoir pour lui, malgré les barbelés des champs. Plus loin encore, on distinguait des arbres qui cachaient une rivière. La seule véritable trace de civilisation était un poteau téléphonique qu’on distinguait au loin. L’horizon était masqué par la montagne couverte de sapins. Ils s’assirent sur le banc, parlant de choses sans grand intérêt. Pendant tout ce temps là, il s’était arrangé pour être près d’elle caressant ses cheveux, lui tenant la main, ce genre de choses.
Et puis, il avait finalement décidé de passer à l’action. Il l’avait regardé et lui avait dit : « Je t’aime ». Elle le regarda et lui dit : « Je ne sais pas quoi dire, je suis gênée. ». Puis elle lui avait expliqué qu’elle en aimait un autre, qu’il était le premier à qui elle le disait. Elle avait refusé de lui donner le nom, jugeant cela compromettant. Elle lui avait également dit qu’elle ne sortait pas avec les amis. Cela le fit sourire. Il avait déjà pensé à appliquer cette idée.
Etonnamment, il n’était même pas déçu. Il préférait presque qu’ils restent amis, cela leur éviterait des tas d’ennuis après tout.
Une heure plus tard, il la raccompagna à la gare, sur le quai, il lui expliqua pour la 13ème fois que si un jour elle avait besoin d’aide, il serait là pour elle. Il l’aimait, oui, mais en tant qu’amie.
Voilà, je vous souhaite un joyeux suicide et/ou plein de textes crades